Suite à la plage

Loona s’était aussitôt levé du doux dos de Neuro. Son élément l’appelait, et une brise légère caressait son tendre visage la faisant sourire. C’était si bon. Le ciel était azur et le soleil brûlait de milles feux. La mer était donc magnifique. Elle regardait les vagues qui venait s’échouer sur le sable fin et chaud. Elle s’assit tranquillement sur le sable si chaud. Puis Neuro lui demanda si elle trouvait la mer était belle. Loona lui répondit:

« Magnifique… »

Puis Neuro s’assit près d’elle. Loona regardait toujours la mer avec son bleu magnifique. Pour une fois, elle ne rougissait, mais elle était tellement heureuse qu’elle était radieuse. Elle regarda alors ce que Neuro dessinait. Mais Neuro cachait très bien son dessin. Cela fit apparaître le sublime et tendre sourire aux lèvres de Loona. Puis elle se leva tranquillement, et ôta sa robe. Heureusement, elle avait mit son maillot deux pièces bleu argenté. Elle demanda à Neuro:

« Allez Neuro! On va se baigner s’il te plait! »

Neuro semblait hésiter, ce qui déstabilisa gravement Loona. Son visage devint tout rouge. Et encore plus quand Neuro lui expliqua pourquoi il hésitait. Loona devint donc encore plus rouge, elle remit bien une bretelle de son haut de maillot, et lui répondit:

Ah… Si tu veux je peux t’en créer un!

D’un geste machinal, elle tourna son poignet, laissant une flamme de magie bleue échapper de la main de Loona. Aussitôt, un short apparut. Puis, le rouge de ses joues disparu et seulement ses petites et mignonnes pommettes resplendirent en un rouge tout mignon. Si près d’une source de magie élémentaire, elle était toujours ravissante. Ses longs et beaux cheveux violets resplendissaient et reflétaient les reflets du soleil. L’eau salée de la mer turquoise venait s’échouait sur ses pieds nus. En effet, elle venait d’ôter tes sandales. Elle dit alors:

Si tu veux, tu peux te changer là-bas!

Loona attendait que Neuro finisse de se changer. Pendant ce temps, la jeune femme était déjà rentrée dans l’eau qui était plutôt tiède. Michi y trempa une patte avant de repartir en miaulant. Elle s’envola, agitant ses ailes bizarrement. La Directrice regarda la jeune Pimcha s’agiter, puis lui envoya un peu d’eau. Michi se remit à miauler de peur. Bien que sa maîtresse adorait l’eau, ce n’était pas forcément le cas de sa Pimcha qui la redoutait plus que toi. Elle acceptait déjà un bain d’eau chaude toutes les semaines par sa maîtresse, mais quand il s’agissait de se baigner dans une mer froide, il en était pas question!

Puis vint Neuro qui essaya d’entrer dans l’eau. Mais dès que son collègue vint y mettre le petit doigt, il repartit, comme Michi, criant:

«  C’est mouillé! »

Son chat, lui aussi, semblait amusé. Il éclata de rire, ou plutôt, éclata de miaulements. A vrai dire, c’était drôle de le voir rire ainsi. Loona, elle aussi rigolait, Michi sur son épaule. La pauvre petite chatte à la tête rousse et aux ailes de pégases, ne semblait pas apprécier l’épaule mouillée de sa maîtresse. Elle préférait s’envoler, mais n’y trouvait pas vraiment le courage. Finalement, elle décida de rejoindre Nibi. Les deux amoureux décidèrent de jouer à rouler par terre. Des fois, Michi ou Nibi léchait le museau de l’autre, et l’autre ripostait en faisant de même. Quand à Loona, elle rigolait bien encore de Neuro:

«  A vrai dire, Neuro, je n’ai jamais vu de l’eau non mouillé, à part peut-être en vapeur!! »

Puis, elle ne sut pas pourquoi, mais Neuro rougit et lui dit:

« Désolé! »

Loona regarda bizarrement Neuro. Pourquoi était-il désolé? La jeune femme lui sourit puis déclara:

« Qu’est-ce qui ne va pas Neuro? L’eau est trop froide? »

[ Pas grave! Lol, des fois, en cours de route, je change de couleur de robes ou d’autres! Souvent, c’est très spé!! Sinon désolé du retard, un peu beaucoup occupé aujourd’hui! ]

Loona le regarda s’expliquer. Elle était complètement désolée de lui avoir fait penser à sa mort. La pauvre femme avait été, poignardé. La jeune directrice fit faner son tendre et doux sourire. Elle savait très bien c’était quoi de se rappeller de personnes mortes. Elle était de plus en plus désolée, quelques larmes coulèrent sur son visage qui devint limpide comme le verre. Elle ferma les yeux, tombant la tête:

«  Je suis désolée… Si désolée… »

Des larmes toutes aussi limpides traversèrent son doux et tendre visage de porcelaine. Michi courrait déjà avec Nibi qui venait de se réveiller. Ils s’embrassaient de coup de museau et de léchouilles. Les deux tourtereaux ne voyaient pas leur entourage. Trop occupé à jouer, s’embrasser ou courir, ils ne voyaient ni Neuro ou Loona ou le paysage…

Alors que Loona était près de Neuro, une femme spectre, faite de fumée maléfique, sortit de la bouche de ce dernier. La jeune directrice ne comprit pas grand chose à son discourd. Elle comprit seuleument qu'elle se croyait bien plus puissante qu'elle. Ce n'était surement pas la première fois, et ce ne sera pas non plus la dernière fois, que quelqu'un se croyait plus fort que Loona. Mais, à chaque fois ils se trompaient.

Même les dieux appellaient la jeune femme Altesse. Certains avaient même peur de sa magie qui leur était, premièrement incontrolable, et bien supérieure à la leur. D'autres dieux, contrairement aux autres, acceptaient bien Loona. Ils la prenaient pour une alliée surpuissante. Ce qui n'était pas loin de la réalité. Mais, ce qu'elle avait fait n'était pas forcément digne. Beaucoup la reniait pour ce fait. Un passé peu glorieux...

Il s'agissait aussi de la mère de Neuro. Mais ce que Loona ne comprit pas c'était la destinée de Neuro. Elle se demandait bien ce que cela pouvait être... Elle était en train de réfléchir quand soudain Neuro se réveilla et déclara à Loona, comme si il ne s'était rien passé:

" Je t'aime "

Loona, fut plutôt surprise. Elle n'eut même pas le temps de répondre " Moi aussi! " que déjà, Neuro l'embrassait.

Loona fermit les yeux pour s'avourer le moment... Le baiser que lui offrait Neuro était si tendre et délicat. Comme de l'eau pure, puis une légère pétale de rose qui, à cause du vent, tombe sur l'eau. Un léger trouble émotionel, mais un plaisir... Jamais quelqu'un ne l'avait embrassé. Jamais quelqu'un ne s'était pris pour son petit copain. Jamais quelqu'un n'avait voullu devenir aussi proche d'elle que lui ne l'avait fait. Elle sentait la douceur des lèvres de Neuro sur les siennes. Elle sentait la brise légère qui passait dans leur cheveux, et rafrichissait leur peau pêche...

[Je pense que le rp est terminé]

[ Bein non! Tu finis pas un baiser comme ça ^^]

[ok, je le ferais plus tard j'ai pas le temps, jolie ta signature]

[ D'accord! Merci pour la sign^^]

[ Cloud de FFVII!! J'adore^^!! ]

Loona ne comprit pas grand chose. Elle fut même plutôt choquée, et plutôt triste. Elle comprit aisément, que Neuro ne voulait pas d'elle. Elle n'était qu'une corvée, une sale gosse, devenue, maintenant, un peu trop grande pour le demeurer encore longtemps. Elle ferma les yeux laissant quelques larmes s'échapper des grandes sphères violettes. Elle n'avait jamais voulu qu'on la laisse ainsi, sans rien... Son coeur avait battu pour Neuro et il la rejetait...

Les quelques secondes qui séparèrent la fin du baiser et les premières paroles de Neuro, furent l’équivalent d’un milliers d’heures, perdus dans le néant… Perdu dans le profond vide…

«  Il ne faut pas qu’elle sorte… Elle s’appelle Jaina… »

Elle prit le collier sans problème… Comme un dernier souvenir, comme un adieu sans retour… Elle scruta le médaillon. L’émeraude scintillait sous les rayons du soleil. Elle l’ouvrit délicatement, le mit autour de son cou, puis le referma:

«  Si un jour, ma mère sort de mon corps, détruit-le! Mes lèvres ne toucheront plus jamais les tiennes mais le monde sera sauvé. Promet-le moi. »

Il finit la phrase en l’enlacent romantiquement. Loona ne put rien dire. Elle laissa le silence régnait. Il fut interrompu par Neuro:

« Aller! On rentre! »

Il se transforma en chat attendant que Loona se mette sur lui. Elle baissa la tête, laissant ses mèches violettes reprendrant le dessus et recouvrirent son visage rempli de larmes;

«  Je ne comprends pas Neuro… Que veux-tu dire? A quoi bon ça sert de s’aimer si on ne peut point s’embrasser. Comment pourrais-je te promettre une telle chose? »