Footing [ PV: Mako & me ]

Loona arriva dans la rue marchande. Elle s’était changé quelques instants plus tôt, rapide comme l’éclair, avec un short bleu et moulant (qui est mieux pour le sport). Sans oublier le petit haut, un haut très sportif, sans bretelles ou autres, d’un bleu vert puissant. Elle se sentait très à l’aise dans ses vêtements, peut-être choquants, mais efficaces. La casquette bleue sur la tête, tenant grâce aux oreilles, renforçait ce côté sportif. Elle adorait également ses chaussures blanches, avec ses chaussettes foncées.

Michi commença à décoller de l’épaule de sa maîtresse, en se léchant les babines. Elle franchit la porte de la boutique menée par Lina, la boutique à bonbons.

La jeune femme regarda alors le jeune rouquin Makoto près d’elle. Il fixait devant lui, le regard droit. La directrice lui demanda alors amicalement:

Ça va Makoto? Tu es sure de faire un footing? Ou tu préfère qu’on fasse les boutiques. Il fait peut-être trop chauds. Tu veux que je te prette un chapeau ou une casquette? Tu vas bien, elle lui tapota sur l’épaule. Allez, t’es un grand et sportif garçon non? Michi reviendra tout à l’heure le vendre rond tu verras, remplis de bonbons. Elle va tout es dévorer. En payant, ne pas oublier. Je lui ai donné de l’argent, mais au pire Lina me demanda à ma prochaine visite. Cette rue est super, tout est bien! Pleins de boutiques, elle regarda partout, pleins d’habits… Après on fera un petit mais long tour. J’aimerais bien m’acheter un petit ensemble pour la rentrée. Pour pas être, non présentable. Tu sais que tes cours ont commencé? Tu peux y aller, même t’es obligé d’y aller!

Elle commença à rigoler, que cela pouvait être d’énervant d’aller en cours à cet âge là. Vous ne pensez pas au futur…

D’ailleurs Est-ce que tu fais l’option histoire/géo?

Makoto n'avait pas jugé util de se changer et portait donc toujours son pentalong noir et son tee-shirt blanc. Il avait l'habitude de porter des vêtements de couleur simple, ses cheveux et ses yeux rouge étant déjà facilement remarquable ... pas la peine de se faire remarquer encore plus en portant des vêtements plus flashy. Apparemment, la jeune directrice n'avait pas ce complexe puisque les vêtements qu'elle portait se voyait de très loin. Il regarda Michi partir vers la boutique de bonbon et se dit qu'il n'aimerait même pas voir à quoi elle ressemblait. Rien que la vue de quelque chose de sucrée (autre que le chocolat) lui donnait mal au coeur.
Il regardait désormais droit devant lui dans la rue qu'il ne connaissait pas. Loona avait commencé à parler mais il n'écoutait pas vraiment, bien trop occupé à prendre des repères. Il y avait des boutiques partout mais Makoto étant habitué au grande ville, ne trouvait pas ça tellement impressionnant. Après tout, il vennait de l'une des villes les plus peuplés, il n'allait pas avoir peur alors qu'il n'y avait même pas de grand gratte-ciel. A vrai dire, cette pensée soulageait même le jeune garçon. Il n'aimait pas les grands imeuble - il avait le vertige - et préféré les petites villes. ça avait été un véritable martyre pour lui de vivre dans celle de son père, et c'était d'ailleurs cet homme qui lui avait donné la haine de tout ce qui était grand.
Soudain il repris concience qu'il n'était pas seul ... il fallait dire que la morsure de Akira qui avait vu qu'il était de nouveau partie dans ses esprits l'y avait un peu. Il cria un petit "aie" que toutes les personnes présentent dans la rue entendire puis plaqua ses mains devant sa bouche. Il regarda ensuite Loona dans le but de s'excuser de son inatention.

- Excusez moi, je pensais à autre chose ... vous disiez ?

Loona comprit vite que sa discution avec le jeune garçon, n’intéressait pas beaucoup le jeune garçon. Il avait l’air autre part. Regardant toutes les boutiques. Elle ne fut donc pas si surprise que ça à lui demander de se répéter. Elle rigola un peu. En premier à la réponse du jeune garçon, mais elle venait de remarquer Michi dans la boutique. Elle avait presque déjà dépenser tout, enfin… Loona acceptait d’avouer qu’elle n’avait pas mis beaucoup d’argent dans le porte monnaie. Elle en avait marre de faire dégrossir, à chaque fois la jeune chatte au ailes blanches. Elle soupira la voyant sortir tout l’argent du porte monnaie de cuir. La jeune directrice rigola, qu’Est-ce qu’elle pouvait être gourmande cette Michi, et même pas un peu gourmette! Toujours à toujours manger sa tarte aux fraises, entière, en deux secondes trois mouvements…

Rahhh!! Quelle gourmande celle là. Rho, t’inquiète, je disais d’important. Tu veux pas faire un petit tour boutiqual avant?

Elle remit une mèche derrière son oreille gauche, tout en baillant…

[HS: pas le temps de faire un plus long^^]

[HJ : je pense pas faire très long non plus --"]

Makoto se courba pour s'excuser une seconde fois de ne pas avoir écouté ce qu'avait dit la jeune directrice. Elle était très gentille avec lui alors il pourrait au moins faire attention à ce qu'elle disait. Elle avait répondu que c'était sans importance mais ça ne l'était probablement pas ... il avait dû la vexer et il s'en sentait assez mal. La main derrière la tête et un air gêné il réfléchit à sa seconde question. Elle désirait faire un tour dans les boutiques ? ça ne lui disait rien mais ça ne pourrait pas lui faire de mal. Il n'avait pas l'habitude de faire les magasins, sauf avec Tsubasa qui insistait toujours pour lui acheter quelque chose quand ils sortaient tous les deux faire un tour. Ses amis rigolaient toujours quand il en parlait mais Makoto se sentait gêné de cette situation.

Je sais que Tsubasa faisait ça pour me faire oublier tout ce que j'avais vécu avec mon père et sa femme ... ça me touche beaucoup mais je n'aime pas l'idée qu'il dépensait de l'argent pour me faire plaisir ... c'était ma faute si il avait temps de mal pour le loyer à la fin du mois ... alors qu'il travaillait tellement.

Makoto soupira en repensant à tout ça. Maintenant qu'il y réfléchissait, Tsubasa était vraiment toujours à s'occupé de lui pour lui faire oublier ses années difficiles qu'il avait passé auprès de sa famille. Il lui avait dit un jour qu'il voulait qu'il se concidère comme un membre de la famille Tekemoto mais le rouquin n'avait jamais réussi. Mais il se rendait quand même util en allant faire les courses pour le repas ... Makoto secoua la tête pour chasser ses souvenirs qui le rendaient mélancolique et se rendit compte qu'il n'avait pas répondu à la question qu'on lui avait posé.

- Pourquoi pas ...

Après tout, ça lui remonterait peut être le moral de faire un tour dans les boutiques ...

Loona remarqua bien que le jeune garçon était tourmenté. Sûrement repensait-il à son passé. Elle avait compris que son passé n’était guère réjouissant. Elle l’avait deviné à le voir toujours aussi rêveur, bizarre… La plus part de ses élèves n’avaient pas un passé glorieux. A vrai dire, elle non plus n’avait pas un passé miracle, mais un passé de mensonges. Elle n’avait appris que vers l’âge du jeune garçon sa véritable identité, sa véritable histoire… Elle avait fuit, sans avertir personne, et avait vécu quelques jours dans la poussière de la rue.

Les boutiques… Elle avait toujours adoré ça. Elle en faisait souvent avec Lune, toujours aussi complices. Toujours à tout acheter, toujours à tout lécher…

Super on va où pour commencer?

Elle le disait, sans vouloir commencer par les bonbons. Ce l’alourdirait pour le footing, même si elle s’en fichait complétement

[Vraiment pas de temps^^]

Makoto ne connaissait pas les boutiques de la rue, aussi quand Loona lui demanda par laquelle il voulait commencer, il ne sus pas quoi répondre. Il regardait à droite et à gauche, impressionné devant trop de monde - y serait pas agoraphobe en plus d'être introvertie --" - et ne savait pas laquelle choisir ... il y en avait tellement. Or de question de commencer par les bonbons ... il n'aimait pas le sucrée ... par contre, il devait bien y avoir une boutique de musique quelque part dans le quartier ... c'était impossible qu'il n'y en ai pas ... mais en même temps, que ferait il à l'intérieur ? Il se doutait bien qu'on ne le laisserait pas faire une démonstration gratuite de chant ... par contre, dans une boutique de dessin, il serait à son aise. Il devait avoir un peu d'argent sur lui et pourrait donc acheter un bloc et des crayons de couleurs ... mais il risquerait d'être alourdis ce que ne serait pas favorable pour courire ... décidément, le shopping n'avait jamais été son point fort ... comme de nombreux d'autre domaine.

- Je vous laisse choisir ...

De toute façon, quel que soit la boutique qu'il visiterait, il trouverait forcément quelque chose à faire. Il n'était pas du genre à s'ennuyer dans son coin et était tout de même capable de s'occuper même dans les magasins où l'emenait son père.

[moi c'est pas le temps qu'il manque, c'est l'inspiration --"]

Loona regarda toutes les boutiques de la rue. Avide de savoir laquelle choisirait le jeune garçon. Elle remarquait également que les artisans avaient sorti leurs décorations d’Halloween et les avaient exposées devant leur boutique. On pouvait remarquer pleins de toiles d’araignées, avec des araignées vivantes dessus. Heureusement, les artisans, qui sont des sorciers, il ne faut pas le négliger, avaient ensorcelé leurs créatures pour qu’elles soient inoffensives, et ne descendent pas de leur toile. Il y avait des citrouille qui s’allumaient à la vue d’un passant, et criait dans toutes la rue: « Hou hou! Je suis la citrouille d’Halloween! ». Certains enfants, ou bébés, s’agrippaient au jupons de leur mère, ou suçaient bien leur pouce. Des sorcières électroniques volaient dans le ciel criant des formules qui transformaient quelques passants, pour quelques instant, en chauve-souris, grenouille… Elle rigola à voir les passants se transformaient en grenouille et sautaient partout. Certains criaient contre les sorcières, d’autres ne savaient pas ce qu’ils leur étaient arrivés, ou grelottaient, mais beaucoup éclataient d’un fou rire horrible.

De plus, le soleil venait de descendre, et la lune commençait à monter dans le ciel noir et étoilé. Les illuminations d’Halloween s’allumèrent dans toute la rue en un instant. Des citrouilles, grenouilles, sorcières, chaudrons, araignées… DE PARTOUT! Loona n’avaient jamais vu rien de plus beau et avoua à Makoto

C’est magnifique! Ça te dirait de faire un tour pour toutes les voir? Au diable le footing, et les boutiques!

Elle lui sourit gentiment. Observant les impressionnantes illuminations de la rue marchande. Tous ses petits plaisirs de petite fille rêveuse lui revint par ses illuminations Elle les adorait…

[ ¨Pas le temps pour en faire un plus long! J'espère que ça te fait un peu plus d'immagination^^]

Makoto était complètement parti dans son monde quand le "spectacle" avait commencé. Il n'aimait pas particulièrement l'horreur mais cela lui rapelait les décorations d'halloween qu'installé Tsubasa chaque année devant la porte et sur le balcon. Il aimait beaucoup la fête d'halloween car elle était pleine de souvenir. L'année dernière, Tsubasa s'était même amusé à lui acheter un costume pour qu'il aille réclamé des bonbons dans les magasins en disant que ce n'était plus de son âge mais qu'il avait envi de voir son petit Makoto s'amuser. Toute fois, ces décorations là étaient nettement supérieur à celle de sa ville natale où les commerçants se contentaient d'acrocher des squelettes en plastiques et de mettre une citrouille en vitrine ... bien sur c'était jolie mais ça ne valait pas les animations de la rue. D'ailleurs, il vennait d'être obligé de faire un pas de coté pour éviter d'être changer en grenouille. De plus, tout était illuminé et pour une adolescent comme Makoto qui avait gardé sa personnalité d'enfant, c'était comme un très beau cadeau qu'on lui aurait offert. Ces lumières, ces décorations ... c'était tout bonnement magnifique et il ne savait plus où donner de la tête tellement il y en avait partout. Surtout qu'il lui fallait faire attention où il marchait pour ne pas écraser un passant transformé en grenouille en train de coâsser. Tout était magnifique et tout méritait d'être vu. Akira sautait partout pour regarder les sorcières et affolé par les grenouilles si bien que Makoto fut obligé de le prendre dans ses bras pour qu'il se calme.

- Je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi extraordinaire.

Le rouquine regretta soudain de ne pas avoir le caméra sur lui. Qu'est ce qu'il aurait aimé pouvoir filmer ça pour l'envoyer à Tsubasa ... Mais il se promit de lui raconter dans les moindres détails les décorations dans la prochaine lettre qu'il lui écrirait.

[ça m'a déjà aidé mais je crois que mon problème c'est la fatigue]

Loona sourit gaiement à la réponse du jeune garçon. A vrai dire, elle non plus. C’était son premier Halloween hors de chez elle. Elle n’avait jamais Halloween dans la rue marchante proche de son établissement. D’ailleurs chaque Halloween était un parfait souvenir, mais le lendemain un peu moins.

Comme vous pouvez l’imaginer, cette fête est très répandue chez les sorciers. On peut fêter Halloween de plusieurs façon.

Il y a la méthode sorcier, pur et dur, une vieille tradition que la plupart des sorciers avaient oubliés. Il agissait de prendre un bonbon repas, avec des décorations fantastiques, et un disque rayé comme musique. Mais cela pouvait être aussi le jour, où l’on pouvait déclaré sa flamme à son amoureux. Mais ça, c’était la méthode un peu vieillot comme dirait les enfants.

Il y a également la méthode humaine. La tradition des Américains était arrivé aux oreilles des sorciers, et énormément ne se rappelaient même plus de la vrai version. Ils préféraient sortir dans les rues, chapeaux de sorcières, dents de vampires artificielles, masque d’orques effrayant, et bien d’autres. On sortait les friandises ses jours-là, pour comme chez les humains les donnaient aux enfants, sinon: gare aux mauvais sorts. Mais attention, il y avait vraiment des sorts, pas seulement du papier toilette « humain » dans le jardin, mais des vrais pouvoirs: de la morve qui dégouline quand on ouvre la porte (pendant une semaine, trop peu pour les enfants, trop pour les victimes), tous les animaux de la maison transformaient en bêtes immondes!

Loona rigola un petit moment. Ce remémorant ses propres Halloween, qui comme venait-elle de penser étaient heureux contrairement aux lendemain. A vrai dire, les parents de Lune étaient un peu trop droits, au goût de Loona, pour Halloween, seulement. Ils tentaient d’obliger les deux gamines à croire, seulement, à la tradition sorcières. Mais à chaque fois c’était la même chose. Ils dînaient seuls, sous leur disque rayé, pour une raison, simple: les gamines s’étaient enfuis.

Comment pouvaient-ils penser qu’on ne parlait pas d’Halloween à l’école, enfin de l’Halloween humain. Complètement dépassé le vieux repas, sous un disque rayé, vive les bonbons. Souvent, les sorciers regrettaient Mr. Friandise qui avait incorporé les bonbons du monde humain dans le monde sorcier. Leur vente devint même illégale le temps de les rendre magiques (stop aux caries!). Mais ceux d’Halloween, les friandises d’Halloween, étaient les friandises humaines. C’était pour ça que les enfants aimaient temps.

Pensive, elle repensa aux techniques ingénieuses, qu’elle pratiquait avec Lune. Dès leur premier pas, où presque, les deux jeunes filles contrôlaient leurs magies presque parfaitement. Leur plan consistait, à sortir sans se faire remarquer (élémentaire), à se retrouver au centre de la ville (pour retrouver les amis), faire un double d’elles deux pour les remplacer ( ce qui ne marchait PAS ). Souvent Loona créait des bulles d’eau volantes, et Lune léviter grâce à un nuage. Elles se retrouvaient au centre de la ville pour retrouver leurs amis. Mais, le problème était leur double. Ils ne pouvait pas parler, et marcher avec difficultés, ce qui les dévoilaient. Elles rentraient tard, même technique que l’allée, par la fenêtre de leur chambre, puis s’endormaient facilement, friandises sous l’oreiller.

Mais le lendemain, elles se faisaient gronder par leurs parents pour leur fugue annuelle. Puis étaient privée, de tout et de rien, interdit de faire la même chose au prochain Halloween ( ouais, ouais, c’est ça), interdit de patati et patata. Mais les jeunes gamines ne respectaient jamais rien, ce qui horripilaient leurs parents, trop sévères.

Magnifique! Que de bons souvenirs ses Halloween!!!

Makoto se retourna alors vers Loona ... après tout, elle vivait ici depuis toute petite d'après ce qu'il avait compris donc elle devait tout savoir sur la façon que les gens d'ici avait de fêter Halloween ... peut être que la fête concistait juste à se faire peur ou que, comme chez les humains, le but était de revenir chez soit avec un maximum de bonbon. Quand il vivait chez lui, Halloween était un jour comme les autres et il ne se souvenait pas d'avoir un jour vraiment fêté cette fête avant de vivre chez Tsubasa. "Nous sommes japonais ! On ne fête pas ce genre de fête américaine ! Makoto, cesse de bouder, et monte dans ta chambre ! Je suis sur que tu as plein de chose à faire pour demain et en plus tu dois préparer le discours d'ouverture du nouveau parc d'attraction je te rappel !" ... chaque année, c'était la même chanson et le jeune garçon finissait sur son lit, à rêvasser et a dessiner des monstres et des fantomes ... pour quelqu'un de peureux, Halloween aurait pu être l'occasion de se guérir ! Si seulement son père n'était pas aussi exigent.

[gomen, TRES court mais je suis complètement HS question imagination.]

Loona regarda le jeune garçon. Qu’est-ce qu’il avait l’air pensif! Loona n’aurait sûrement pas du le faire venir un jour d’Halloween. Les décorations lui donnaient peut-être des frissons dans le dos, de quoi être horrifié!

Soudain une sorcière passa dessus les deux amis. Elle ricana puis prononça une formule idiote, une bonne formule de sorcière. Une lueur verte et argentée sortie de sa baguette de bois d’olivier. Loona savait très bien qu’elle allait se faire transformer en grenouille. Elle aurait bien pu se dégager, ou lancer un sort boomerang, mais Loona est Loona. Fallait elle se faire transformer en grenouille pour éclater de rire aussitôt après. La lueur verte argentée illumina la rue marchande, puis on entendit un petit « crOaaaa ».

C’était la directrice, transformée en petite grenouille, féminine (ne savant pas dire le féminin d’une grenouille ). De sa taille, les chaussures de Makoto lui paraissait énorme. Quand à ses baskets et à ses habits, ils avaient rétrécis en même temps qu’elle. Loona commença à piquer un fou rire affreux en temps que grenouille, ce qui pouvait se traduire en « croOooooaaa, cccrrrooooaaaaa! ». Elle se retransforma quelques secondes plus tard en la jeune fille aux cheveux violets et aux yeux de même couleur. Morte de rire, elle s’accroupit par terre, les yeux recouvert par ses paupières fermées, sous le rire.

Que pouvait bien penser Makoto? Elle n’en savait rien, et s’en fichait. Peut-être une directrice « normale » devait faire bonne figure, mais, une fois de plus, Loona est Loona, alors fallait-il qu’elle se laissa transformer et éclate de rire, dans la rue marchande, alors que tout le monde la regarder…

Makoto revenait du monde de ses pensés quand il s'apperçut que Loona avait disparut. Il doutait que la jeune femme soit partit en le laissant seul, ça n'avait pas l'air d'être son genre, mais ne voyait pas du tout où elle pouvait être ... il regardant la rue marchande en long, en large et en travers puis fini par se demandait si elle n'avait pas été enlevé. Après tout, une directrice, ça devait pouvoir rapporter une belle rançon. Alors qu'il paniquait complètement, il entendit un fou rire et baissa les yeux qui tombèrent sur la jeune femme pliée en quatre de rire par terre. Stupide comme il était, il ne compris pas que les larmes qu'il voyait était des larmes provoqués par le rire et s'inquiéta imédiatement de l'état de santé du jeune professeur.

- Sensei ... est ce que vous allez bien ? Vous êtes blessés ?

Il ne savait pas du tout ce qui s'était passé et, pour être franc, il s'en fichait pas mal. La seule chose qui l'intéressait à présent était la santé de Loona ... bien qu'il se rendit vite compte qu'elle avait l'air en pleine forme.

La jeune directrice ne s’était jamais aussi bien. Peut-être avait-elle l’air débile, plutôt, même si elle avait l’air complètement débile, la directrice éclatait d’un rire. D’un rire qui vous rafraîchit, qui vous donne envie de rire plus souvent, et encore bien d’autres sensations.

Mais quand elle remarqua qu’elle perturbait le jeune garçon elle s’arrêta soudain de rire. Le jeune garçon s’inquiétait pour elle, et pour cela, la jeune directrice le trouvait vraiment très mignon. Elle le regarda tout en souriant;

Non, je vais très bien. Seulement cette transformation en grenouille m’a fait « exploser », Affirma-t-elle en se relevant

Elle se leva doucement, en remerciant le jeune garçon de l’aider. Franchement, il était très sympathique. Peut-être devrait-elle s’intéresser à son passé, et à ce pourquoi il est là. Mais quelque chose lui disait qu’elle devait plutôt éviter ce sujet, que le jeune garçon n’aimerait pas. D’ailleurs, il ne lui en avait jamais parlé, enfin… Pas directement. Il avait évoqué son père par une étourderie. Plus précisément en recevant une lettre de son père, pour la directrice. La lettre sous-entendait que son père ne voulait pas qu’il rentre chez lui pendant les vacances. Loona avait fait la grossière erreur de lui demander si Makoto ne connaissait pas l’élève concernait, et le jeune garçon, enragé, avait déchiré la lettre. Loona s’était alors promis de plus lui parler de son passé, et de sa vie familial.

Makoto fit un grand sourire en voyant que la directrice allait bien et qu'elle n'était pas blessé, même si cette histoire de grenouille le travaillait ... Elle avait été transformait et il ne s'en était même pas apperçut ? Mince alors ... il devait être sacrément dans ses pensés sur ce coup ... peut être même qu'il avait écrabouiller des grenouilles sans le savoir ... il savait pourtant qu'il devait toujours être attentif tellement il était maladroit, mais il ne pouvait pas s'empêcher de partir dans ses rêves toutes les deux secondes. Après s'être réprimendé sur ce point, il regarda de nouveau Loona.

- Sensei ? Vous avez l'air préoccupé ? J'ai fait quelque chose ?

Chaque fois que quelqu'un dans l'entourage de Makoto était trop pensif, le jeune homme s'imaginait que s'était de sa faute car son père avait toujours l'air des ses pensés quand il s'apprettait à le réprimender. Il soupira un coup et espéra n'y être pour rien cette fois-ci.

Loona lui sourit gentiment. Pensive maintenant à son passé, elle commençait à frissonner. Un esprit de vengeance traversa son esprit. Personne de sa famille vivait encore (à part son oncle dont elle ignorait l’existence). !Et tout cela, par la faute d’une personne, d’un clan, d’un empire… Même si elle avait toujours ignoré sa réelle identité, elle n’avait plus l’impression d’être la sœur de Lune. Cela la traumatisait énormément. Souvent, Lune était la seule personne à qui elle pouvait parler. Sa, sorte de sœur, avait du succès partout: auprès des garçons, des amies, des enseignants, du travail… La directrice, elle n’avait que sa « soeur » en amie, et quelques amitiés tissées avec les enseignants. Les Halloween, c’était toujours avec les amis de Lune. Ils l’aimaient bien une soirée, mais l’ignoraient le lendemain. Mais Loona n’était plus une petite fille maintenant. Elle était Loona Narl, de la grande famille résistante Narl, l’humaine qui a contient sûrement le plus de magie de tous les temps… Mais Loona ne s’en vantait pas.

Non je vais bien, mentit la jeune directrice, et toi? On commence notre tour?

Elle tourna la tête, pensive…

Makoto hocha la tête sans réelle motivation. Elle était partie avec la bonne humeur de la jeune femme. Il n'était pas stupide et voyait bien qu'elle n'allait pas bien malgré ce qu'elle disait. Après tout, ce n'était pas ses affaires et il comprenait qu'elle ne désire pas se confier à lui mais il eu tout de même un pincement au coeur en se disant qu'il se trouvait maintenant totalement inutil à la jeune directrice qui l'avait aidé depuis le début et il s'en voulait un peu. Il ne montra donc que peu d'intéret aux multiples décorations autour de lui et manqua plusieurs fois de faire tomber Akira de son épaule en faisant semblant d'être intéressé par tel ou tel décoration ... il se faisait un peu honte d'agir comme ça mais jouer la comédie avait toujours été sa façon de faire de toute façon. Cacher ses sentiments, ses états d'âme afin de ne jamais causer de problème aux gens qu'il l'entourait ... C'était comme ça que Makoto avait l'habitude de se conduire ... mais aujourd'hui, cela le fatiguait un peu.

- Il y a un magasin où vous voudriez passer ?

Il avait dit ça en se disant qu'ainsi, il réussirait peut être à rendre sa bonne humeur à Loona et pour le coup, fit un immense sourire qui n'était, cette fois, pas un mensonge.

Loona regardait le fond de la rue marchande, toujours pensive. Pourquoi elle? De toute façon, pourquoi quelqu’un? Ce n’était pas assez dur comme ça? L’empire empestait déjà la vie à tout le monde, même l’empereur ne le niait pas. Cet empire, cette dictature… Plus de liberté dans ce monde. A vrai dire, c’était presque le seule monde sans guerre. Beaucoup le contemplait, rêvant d’y vivre, mais ce monde était le pire de la galaxie. Pire que la guerre civile y règne. Comment pouvait-elle le faire comprendre aux autres galaxies? Heureusement, grâce à sa demi sœur elle avait eu l’amitié des elfes du jour, et le roi lui écrivait tous les jours, pour préparer des plans contre l’empire.

Le jeune garçon lui demanda alors gentiment:

« Il y a un magasin où vous voudriez passer »

Elle lui sourit gentiment. Puis observa le fond de la rue marchande Qu’Est-ce qu’il avait heureux… Comment ne pouvaient-ils pas compte de la terreur qui sillonnait les rues? Chacun avait peur, mais ici, en temps que lieu de détente, n’avait pas encore été contrôlé par l’empire. Loona grimaça sans que Makoto ne l’aperçoive, ou du moins sans qu’elle s’en aperçoive.

Oh… répondit-elle enfin, je ne sais pas.

[HS : Désolé pour le long silence ... mon imagination étant à son maximum en cours, j'avais du mal sur l'ordi XD]

Makoto était extrèmement géné de voir que Loona avait soudainement complètement changé d'attitude. Elle semblait soudain tellement plus triste et mélancolique ... un poète aurait probablement trouvé cela très intéressant comme sentiment mais pour le rouquin, habitué à ce qu'on l'accuse de tous les maux qui arrivaient dans sa famille, la seule chose qui l'habitait désormais était la culpabilité. Est ce que c'était de sa faute si elle était en cette état ? Avait il fait quelque chose de mal qui avait énervé la jeune directice ? Probablement par puisque ce n'était pas de la colère qu'on lisait sur son visage mais malgré tout, Makoto se sentis résponsable et coupable de ne rien pouvoir faire pour l'aider ... lui parler ? Il n'était pas habitué à réconforter les gens ... il ne savait même pas parler avec eux ! La seule personne avec qui il parlais, c'était Tsubasa, les autres, il ne savait jamais trouver ses mots, s'embrouillait dans sa pensé et finissait souvent par rentrer chez lui en courrant, persuadé d'avoir dit ou fait quelque chose qu'il ne fallait pas.
Il poussa un petit soupir déséspéré ... il aurait tellement aimé revoir le sourire que la jeune femme abordait à leur entré dans la rue plutôt que la voir dans cette état. Il ne savait pas du tout quoi faire pour s'excuser d'une éventuelle bêtise qu'il aurait pu faire et se contenta de s'arrêter devant un magasin au hasard en se disant qu'un peu de shopping allait peut être la détendre. Lui, il n'aimait pas ça mais si ça pouvait lui rendre le sourire, ça ne le dérangeait pas.

Loona réfléchissait longuement… Pourquoi vivre? Était si important? Était ce seulement un passage avant la mort? Pourquoi temps de gens riait, ou pleurer de bonheur quand elle pleurait?

La vie n’est pas simple. Rien ne peut nous dire ce qu’il y a après, sans jamais comprendre rien à rien, on peut comprendre seulement que personne sait qu’est-ce que la mort. Une chute; un pas; un cadeau? Loona n’en savait rien, mais cette question la traumatisait. Elle, qui un instant plus tôt était là, souriante comme toujours. Elle qui ne se prenait jamais au sérieux. Une fleur s’épanouissait…

Makoto s’arrêta devant une boutique, l’air intéressé. Pour la première fois, Loona voulut le serer dans ses bras aussi fort que possible.

Elle se tue.

Makoto poussa un faible soupire en voyant qu'elle n'avait pas l'air d'aller mieux ... il n'était pas très doué pour comprendre les sentiments des autres, il avait déjà du mal avec les siens, et n'avais aucune idée de la façon dont on devait agir dans ce genre de situation ... Habituellement, quand il était triste, Tekemoto réussissait toujours à lui remonter le moral en lui faisait écouter de la musique, en lui faisant la cuisine ou en le serrant dans ses bras. Il réfléchis un instant au moyen de remonter le moral à la jeune femme qu'il ne connaissait quasiment pas lorsque, soudain, il eu une idée. Il sortit son baladeur et mis un CD qu'il connaissait par coeur à force de l'écouter et tendis un écouteur à Loona.

- Sensei, vous devriez écouter ça !

Il monta un peu le son et mit le second écouteur près de son oreille. C'était une musique très calme qu'il écoutait souvent quand il se sentait seul ou triste à l'époque où il vivait encore dans la grande maison des Mimomiya et espéra que cette chanson allait avoir le même effet sur la jeune directrice que sur lui à l'époque.

Loona s’efforça de sourire à Makoto. Il était vraiment trop mignon à s’inquiéter pour elle. C’était vraiment très gentil. Elle ferma les yeux. Makoto approcha m’écouteur près de son oreille droite et augmenta le son. Une musique très calme retentit de l’écouteur. Un peu triste, un peu joyeuse. Il ne pouvait l’expliquer. Elle était mélancolique. Sans l’être vraiment. Une drôle de musique pas toujours joyeuse. Loona lui sourit en lui murmurant:

Merci Mako-chan!

Elle commença à reconnaître la musique. Hmmmm… Où l’avait-elle déjà entendu? Hmmmm… Mais oui! A New York! Comment aurait-elle oublier New York. Un séjour scolaire où elle avait rencontré temps de monde. Elle avait embrassé son premier amour sous la statue de la Liberté. Elle sourit un peu plus, plus sourire forcé.

Makoto sourit en se mettant à danser au rythme de la musique. En temps normal, les musiques calmes ne lui donnait pas envi de danser mais celle-ci le motivait chaque fois, probablement parce qu'il avait vu des couples danser dessus à la fête de son ancienne école. Il avait envi de s'amuser ce soir, et surtout de rendre le sourire à Loona ... c'est triste quand quelqu'un, habituellement joyeux, fait la tête. Il se fichait pas mal que les passants le regardait en rigolant et il commença à changer la musique en utilisant son téléphone comme micro, comme il avait l'habitude de le faire. Au bout d'un moment, il s'arrêta, probablement parce que la musique était terminé, et il baissa le son de la musique en souriant de nouveau.

- Sensei, ça ne sert à rien de trop réfléchir ... je ne sais pas ce qui vous rendez triste mais, un conseil, contentez vous de vous amuser ... quand vous êtes triste, les gens autour de vous le sont aussi.

Il avait appris ça de Tsubasa qui le lui avait expliqué alors qu'il ne voulait pas lui dire les problèmes qu'il avait avec son père. Finalement, discuter avec la directice n'était pas trop compliqué, elle était sympatique et, si il ne parlait pas encore beaucoup, il réussissait à présent à aligner plus de deux mots sans se mettre à rougir et à tousser - quoi que tousser, s'était moins sur ...

[très, très court, sorry]

Makoto se déhanchait sur la musique douce de son MP3. Loona ne voulait pas être méchante, mais vraiment elle ne put laisser échapper un petite rire. Mais pour faire bonne image, resta ferme. Qu’est-ce qu’il dansait mal. Les passants regardaient Makoto comme un extraterrestre. Une vieille grand-mère, un peu trop religieusement correcte, regarda avec trois yeux Loona. Elle passa devant la directrice et lui chuchota:

« De mon temps on éduquait mieux nos enfants. »
Loona regarda la grand-mère bizarrement. Avait-elle l’air si mature pour être traiter de mère d’enfant. Bon, à vrai dire, elle n’en était pas peu fière. Elle rêvait d’avoir un enfant, un garçon ou une fille, qu’importe. Mais avant, il fallait trouver le mari. Elle adorait les enfants. C’était pas une pédophile, loin de là. Elle les trouvait juste craquant avec leurs grosses joues roses. Si elle ne trouvait pas d’enfant d’ici quelques années, sur, elle adopterait un enfant. De préférence un orphelin, et tout bébé, encore sans un cheveux sur la petite tête en sucre d’orge.

Makoto lui fit un petit sermon. Comme quoi elle devrait vivre heureuse. La directrice renchérit immédiatement:

Tu devrais apprendre à danser le rock. Je te ferais un cours si tu veux tout à l’heure. Tu choisiras la musique et je t’apprendrais quelques passes. J’en ai appris tellement dans mon jeune age avec mes amies que je ne les compte même plus.
Pour ton petit sermon, sache qu’avec le gouvernement actuel personne ne peut être heureux. Je sais, je ne devrais pas trop donné mon avis, en temps que directrice. Mais disons, quand temps d’amis, je le peux. Tu es encore trop jeune pour penser à tout ça. Quel temps heureux que le temps de l’enfance. Loin de la politique, loin de l’empire. Seulement les amis, les jouets comptent.

Sans le vouloir, Makoto l’avait rendu encore plus triste qu’elle ne l’était vraiment…

Makoto était bête mais pas complètement stupide, il savait qu'il ne savait pas danser mais ça ne lui faisait rien ... toute fois, si Loona voulait lui apprendre à danser, ça ne le dérangeait pas, loin de là ... ça pourrait même être amusant ... Mais n'étant pas stupide, il se rendit aussi compte qu'il avait fait mal à la directrice ... certe, il ne l'avait pas fait exprès mais malgré tout, il se sentait responsable de la tristesse de la jeune femme. Toute fois, il n'était pas d'accore avec elle sur un point ... quoi qu'il arrive, il n'y avait aucun mal à être heureux ... lui même, lorsqu'il vivait avec sa "famille" était persuadé qu'être heureux était impossible ! Il détestait tellement son père, cette femme qu'il devait traiter comme sa mère ... puis il avait rencontré Tsubasa qui lui avait appris à être joyeux et avait effacé tout ce qui s'était passé ces dernières années. Makoto avait envi de continuer sur sa lancée mais ça ne servait à rien qu'il parle trop, puisque parler lui faisait mal à la gorge à la longue, si s'était pour rendre Loona encore plus malheuse.

- Je n'ai pas les moyens d'effacer toutes vos pensés tristes mais j'aimerais pouvoir vous rendre heureuse parce que voir les gens heureux c'est vraiment magnifique ... Je pense qu'il n'y a aucune monde où on ne peux pas être heureux, même dans le pire des mondes ça doit être possible. Si moi avec mon bon à rien de père j'ai réussi à trouvé quelqu'un qui m'a rendu heureux, vous devez en être capable aussi ! Et je ne suis pas un enfant ! Je suis tout à fait capable de comprendre les choses compliqués ! Je suis plus un gamin !

"Mince ... qu'est ce que j'ai dit là ? J'ai parlé de mon père ? Alors que, d'après ce que j'ai compris, l'enfance de sensei n'a pas été super cool ... je suis vraiment le dernier des salops ..."
- Je suis désolé, je ne voulais pas dire ça !

Le rouquin se sentit tellement gêné qu'il lâcha son baladeur qui tomba par terre dans un grand "bang" - heureusement que s'était de la bonne qualité, il était encore entier - et partie en courant, entrant dans le premier magasin pour se caché. Il s'était vraiment mal conduit face à Loona qui avait eu la gentillesse de s'occuper de lui depuis son arrivé ... non seulement il l'avait rendu triste mais en plus il lui avait parlé d'une façon très mal poli ... il ne pourrait plus jamais la regarder en face. Sans se soucier du regard du patron de magasin qui le regardait comme un extraterrestre - c'est une habitude - Makoto s'assit dans un coin du magasin en se retenant de pleurer. Il était vraiment le dernier des derniers sur ce coup là ... même s'excuser, il n'avait pas su le faire convenablement ...

"Je suis vraiment le derniers des abrutis ! Un crétin ! Un type sans coeur ! Qu'est ce qui m'a pris ! J'avais bien vu que je ne faisais qu'empirer la situation et pourtant j'ai continuer ! Moi qui ne parle jamais d'habitude, il a fallu que je l'ouvre pour un truc pareil ! Si mon père était là il m'en collerait une c'est sur !
Si j'étais pas aussi susceptible aussi ... en vérité, ce qui m'a vraiment énervé, c'est l'allusion au fait que j'étais un enfant ... alors que moi, j'aimerais tellement être grand pour être capable de rattraper Tsubasa ! Capable de lui rendre tout ce qu'il m'a offert ! Pourquoi est ce que je suis encore qu'un gamin ?"

Loona regarda le jeune garçon s’enfuir. Elle ramassa le MP3. Son regard fixa la boutique. A vrai dire, il lui avait bien manqué de respect, mais bon. Loona en était habituée. Personne n’était parfait, même pas Loona. Peut-être pensez-vous que Loona est un ange depuis sa jeune enfance. Toujours avec son auréole. Pas du tout, des milliers de quatre cent coups avait-elle exécuté avec Lune. Ne sachant pas quoi faire elle resta là.

[ On le finit là, ou tu veux une suite?]