Repos au lac [PV: Arisa & me]

Loona s’assit prudemment au bord de l’eau clair. Elle prit l’eau dans ses mains, et la laissa s’échapper. Elle le fit une seconde fois,, versant l’eau sur son visage au teint blanc. Cette eau pure la rafraîchir un petit instant, puis elle commença à lire une revue.

Michi s’échappa de son épaule. Ses ailes d’un blanc pur, commencèrent à battre, laissant un faible courant d’air s’en échapper. Elle attirait près de l’eau, et glissa son petit museau rose dans l’eau pur. Elle le mouilla délicatement. Puis, glissa sa tête rousse entière dans l’eau pure, laissant quelques remous jouaient sur la surface d’eau pure. Elle commença à absorber un peu du liquide pure, si délicieux. Même sans goût, cette eau, tellement pure, à le goût de ce que vous préférez: fraise, rose, shampoing ^^. Pour Michi, l’eau avait un goût de croquette poisson.

Elle finit enfin de s’abreuver et sourit à sa maîtresse. Puis s’approcha de la jeune directrice. Elle ronronna aussitôt, se frottant au gilet de la jeune fille. Loona lui sourit comme un retour de tendre amitié.

Puis une jeune fille arriva près du lac. Loona l’aperçut et lui déclara:

Bonjour! Je suis Loona Narl, directrice de l’établissement. Et toi? Comment te nommes-tu?

Elle lui souriait gentiment. Toujours en caressant la tête rousse de la jeune chatta. Michi continua à ronronner, frottant sa tête contre le gilet bleu azur de sa maîtresse.

arisa vie soudain un femme d'une vingtaine d'année
- Très belle pensa t-elle
La femme lui disait qu'elle était la directrice de l'école de magie qu'elle venait tout juste de quitter.
Elle beyaga en rougissant :
-E...Enchantée...J....Je m'apelle A....Arisa U....Uotani !

La jeune femme, qui prétendait se nommer Loona Narl et être la directrice l’établa lui proposa gentiment de s’asseoir près d’elle. L’elfe aux yeux pomme s’assit sur l’herbe douce, en respirant doucement. Quelle herbe! Douce, et agréable! Presque les mêmes qu’au pays elfiques… Vraiment très agréable. Un petit vent frais fit voleter ses longs cheveux blonds, qu’elle avait oublié de nouer ce matin. Ils voletèrent ainsi un petit moment, pareil que pour ceux de la directrice.

Vraiment Arisa la trouvait magnifique. Elle était d’une beauté épanouissante. Ses longs cheveux violets volaient en même temps que ceux d’Arisa. Elle ne les avait pas noués, mais ses cheveux étaient d’une beauté inexplicable. Ses yeux en amandes et du même violet que ses cheveux étaient tout simplement sublimes. Elle portait un gilet bleu sur une robe d’un blanc nacre. Elle la trouva aussitôt d’une pureté sans égal.

Puis l’étudiante regarda le lac pensive. C’est vrai qu’il était magnifique. Les lacs de son monde aussi étaient magnifiques, mais tout de même, elle était impressionnée par la beauté de celui là. En effet, dans son monde, les elfes rétorquaient que les humains étaient des moins de rien, des nuls, des incultes. Mais pour Arisa, la jeune directrice n’avait pas l’air de cette race. Enfin, elle n’avait pas l’air d’appartenir à cette description. De plus une magnifique chatte rousse et blanche se câlinait à son gilet bleu mer. La petite chatte, maintenant, se lavait dans l’eau pure. Qui d’après Loona était vraiment très magique.

Quel lac magnifique ! On dirait que l'eau ressemble a du cristal ! renchérit l’étudiante.

Elle trempa une main dans l’eau, qui d’après elle ressemblait à du pure cristal, mais d’après la directrice était d’une magie sans égale. L’eau la rafraîchit aussitôt. De plus une soif épouvantable la saisissait. Elle commença à s’abreuver avec l’eau. Mais fut surprise par son goût. La jeune directrice lui sourit. Pendant qu’elle découvrait la magie… Mais oui, un goût de pomme verte… Qu’est-ce que cette eau est bonne!

Elle revit immédiatement son jardin, la maison, le village. Près du rosier aux roses d’un blanc pure, et à gauche de l’olivier, se tenait un pommier. C’était la gloire de son père. En effet ce pommier était le meilleur pommier du monde. Ses pommes étaient succulentes. Toujours aussi délicieuses. Et chaque année, la famille en mangeait. Quand son père l’envoya ici, à Magic School, Arisa lui avait demandé de lui envoyer ces si précieuses pommes. C’était à la première chose dont elle pensait. Mais peut-être qu’elle ne les reverrait plus, peut-être ne reverrait-elle plus le pommier, sa mère, son père, le village, le rosier, l’olivier, son amie… Peut-être ne reverrait-elle plus rien de son pays…

Une larme coula sur sa joue, pour atterrir sur son épaule gauche. Un fin sourire de tristesse et de bonheur, en passant à son passé, traversa son doux visage…

Loona regarda la jeune demoiselle d’abreuvait de l’eau précieuse. Elle n’était ni polluée, ni trop sauvage, mais d’une magie incroyable. D’ailleurs Loona en était en partie responsable, ou plutôt complètement responsable. C’était elle qui avait enlevé toutes les impuretés de cette eau, si polluée. L’eau était d’un noir horrible quand elle avait commencé à bâtir sur le terrain. La première chose qu’elle avait fait consisté à dépolluer le lac, ce qu’elle avait réussi, en même pas un jour. Ce qui l’avait fait sourire. Elle venait donc souvent contempler son résultat, vraiment très précieux à ses yeux.

La jeune étudiante passa première la main dans l’eau de cristal. Elle la trouva douce et très rafraîchissante… Le bonheur… Puis commença à s’en abreuvoir.

Soudain, elle ne comprit pas pourquoi elle commença à verser une larme. Puis deux, puis une folle dizaine.

La directrice la prit dans ses bras, lui tapotant le dos:
Qu’est-ce qui ne va pas?

[TRES COURT, TROP COURT MON POST]

Arisa pleurais lentement. Soudian, la directice de l'école de magie lui tapota le do en lui disant ce qui n'allais pas. En continuant de pleurer de plus belle en dit :
- M....Mon Royaume est en ....guerre .... contre les elfes des tenèbres....et.....et.....
Elle possa soudain un énorme sanglot.
- ET....Ma ville est déja a feu et a sang ! Je ne crois pas que mes parents surviraient !
( mon post aussi est trooo cour !)

Loona tapota la jeune elfe dans le dos. Elle aussi connaissait cela. Sa véritable existence concernait toujours la guerre de l’empire. Loona était sûrement une cause de cette guerre civile. Elle répondit à la jeune elfe, sanglotante:

Ne t’en fais pas. Ton père est trop puissant pour ce faire avoir par eux. Et oui, je connais ton père. Lune, ma demi sœur également est une elfe du jour. Puis ton père m’a envoyé une lettre comme quoi il t’inscrivait ici pour te mettre en sécurité. Princesse Arisa Uotani.

Elle lui tapota l’épaule puis lui chuchota:

Tu réclameras vengeance! Ne t’en fais pas je connais ton sentiment. De haine, de vengeance. Mais toi, tes parents ne sont pas morts, et tu peux les sauver, dès que tu le souhaites.

[Pas le temps de faire un post plus long, ça c'est court non?]

Non, c'est impossible : la soeur de la directrive de magic shool est un elfe de jour !
elle en aurrait entendu parler dans le royaume.
Elle allait la remercier mais sa colère de vengeance et de haine l'emporta :
- QU'EST CE QUE TU EN SAIS TOI, QUE MES PARENTS ONT SURVéCunent ? TU A UNE PREUVE ?
Soudain se remémorant ce qu'elle lui avait crié, elle rougit et s'escusa en begayant.

* Tu? * pensa la directrice

Elle n’avait pas vraiment l’habitude que ses élèves la tutoie. Cela ne la choquait pas spécialement, mais même Makoto qu’elle connaissait depuis, maintenant, assez longtemps, ne la tutoyez pas. Il continuait à la vouvoyer, malgré que la directrice lui dise que ce n’était pas la peine.

Mais ce n’était pas là le problème.

La jeune fille avait crié qu’elle voulait savoir pourquoi elle savait tout ça sur ses parents. Loona s’étonnait que son père ne lui explique pas exactement pourquoi il l’avait amené ici. Il l’avait pourtant bien écrit dans sa lettre. Ainsi que dans leurs conversations entre galaxies, contre l’empire.

Je le sais Arisa. Je connais tes parents. Surtout ton père. Nous complotons quelque chose ensemble, avec d’autres dirigeants. Mais je ne peux pas t’en dire plus. Ton père je l’entends tous les jours.

Elle essayait de la rassurer, mais ce n’était pas si facile. La jeune princesse n’avait pas l’air de comprendre. Mais Loona ne devait rien lui dire de plus, c’était déjà assez suffisant.